Groupe de Carcassonne du 14 mars 2014. Compte rendu N°23 et dernier.
Lecture de « Séminaires de Zurich » par Martin HEIDEGGER éditions Gallimard
Présents : Edith BLANQUET- Marie Christine MISTRAL- Marie SARDA – Denis TOUZET
Avril 2014 : Nous nous sommes attablés ce soir à la lecture de la fin du Séminaire : Séminaire des 18 et 21 mars 1969 pages 211-215
Heidegger va reprendre la question de la spatialité propre à l’être humain compris comme « être-au-monde » et il va ouvrir une manière d’entendre (...)
Groupe de Carcassonne du 14 mars 2013 . Compte-rendu N°22
Lecture de « Séminaires de Zurich » par Martin HEIDEGGER éditions Gallimard
Présents : Edith BLANQUET- Marie Christine MISTRAL- Marie SARDA – Denis TOUZET
Nous nous sommes attablés ce soir à la lecture du Séminaire du 1 mars 1966 pages 198-211 1 mars 1966
Heidegger évoque la comparaison faite par Médard Boss : les séminaires de Zurich seraient une cure Heidegerienne en comparaison avec la cure freudienne. Il les décrit comme une thérapie de (...)
JUILLET 2013 lecture séminaire de Zurich du 23 novembre 1965. Première partie P170 à 183. Compte-rendu N°19.
Le séminaire débute par l’invitation à nous rappeler un phénomène du corps banal : le rougissement déjà évoqué précédemment. Le rougissement s’entend comme une manière d’être-avec-autrui. Demandons nous ce que cela nous donne à entendre « être-avec-autrui » ? être-relié, avoir-rapport-à-autrui ? P171 D’évidence nous pensons à un lien entre deux individus humains, deux entités biologiquement distinctes…qu’en (...)
Groupe de lecture de Carcassonne Séminaires de Zurich par martin Heidegger
Séance du 1er Décembre 2011
Compte-rendu N°6 :Il s’agit ce soir de lire et commenter le séminaire du 5 novembre 1964 - Page 63 –68
Lors de ce séminaire, Heidegger reprend sa démarche interrogative. Pour lui, il ne s’agit pas de conclure, de faire des propositions raisonnantes et il faut qu’il soit bien établi que chaque propos que l’on pense dans cette pensée, soit établi à chaque fois à neuf. Et parfois cela ne (...)
Groupe de Carcassonne du 3 novembre 2011
Lecture de « Séminaires de Zurich » par Martin HEIDEGGER éditions Gallimard
Présents : Edith BLANQUET- Marie Christine MISRAL- Marie SARDA – Yannick MARQUEZ - Guy MINAUDIER – Denis TOUZET
Compte-rendu 5 :Nous nous sommes attablés ce soir à la lecture du Séminaire du 2 novembre 1964 - P 57à62
Martin Heidegger, en guise d’introduction, rapporte une anecdote entre Socrate (le plus grand penseur de l’Occident dans la mesure où il n’a rien écrit) (...)
Groupe de lecture "Martin Heidegger - Séminaire de Zurich"
Edith Blanquet, Yannick Marques, Guy Minaudier, Marie-Christine Mistral, Marie Sarda, Denis Touzet.
CR 4 : séminaire du 9 juillet 1964 (page 48à 56) Groupe de lecture du 15 avril 2011
Il s’agit de distinguer l’être et l’étant ainsi que le rappelle Heidegger…projet délicat, d’autant plus, à l’aune de la pensée contemporaine déterminée par la science : celle-ci ne se « préoccupe plus » de la question ontologique et ne vise que l’étant, la pleine (...)
Groupe de lecture "Martin Heidegger - Séminaire de Zurich"
Edith Blanquet, Valerie Chantepie, Yannick Marques, Guy Minaudier, Marie-Christine Mistral, Marie Sarda, Denis Touzet.
CR 3 : séminaire des 6 et 9 juillet 1964 (page 38 à 44) Groupe de lecture du 2 décembre 2010
Prologue Nous avons eu la possibilité d’accéder à une autre traduction, non officielle, de ce séminaire. Nous avons passé l’essentiel de la soirée à comparer les deux traductions. La traduction non officielle fait apparaître un Martin (...)
Groupe de lecture "Martin Heidegger - Séminaire de Zurich" Edith Blanquet, Valerie Chantepie, Yannick Marques, Guy Minaudier, Marie-Christine Mistral, Marie Sarda, Denis Touzet.
Compte-Rendu 2 : séminaire des 24 et 28 janvier 1964 (page 33 à 37) Groupe de lecture du 4 novembre 2010
Nous utilisons ce soir en parallèle du livre une autre traduction de ce chapitre. Cette traduction rend plus lisible les propos contenus dans ce séminaire. Chaque fois que nous la reprendrons dans ce compte rendu, (...)
Groupe de lecture de carcassonne "Martin Heidegger - Séminaire de Zurich" publié chez Vrin, Paris, 2010, Traduction de Caroline Cros
Edith Blanquet, Valerie Chantepie, Yannick Marques, Guy Minaudier, Marie-Christine Mistral, Marie Sarda, Denis Touzet.
Groupe de lecture du 8 octobre 2010 : premier compte-rendu
Compte rendu du séminaire 8 septembre 1959 (page 31 à 32)
Résumé...commentaire du texte lui-même :
Ce premier séminaire débute par une explicitation de la notion de Dasein, à partir d’un (...)
Groupe de lecture de décembre 2013 « Séminaire de Zurich » Martin Heidegger
Présents : Edith BLANQUET – Marie Christine MISTRAL – Marie SARDA - Guy MINAUDIER – Denis TOUZET
Ce soir nous nous sommes attaqués à la lecture du séminaire du 23 novembre 1965 - En page 183 de l’ouvrage : « Séminaires de Zurich » de Martin HEIDEGGER traduit par Caroline GROS – éditions Gallimard bibliothèque de philosophie.
D’emblée M. Heidegger interroge : Pourquoi dans : « Etre et temps » est-il question du Dasein et non de l’être de (...)
Groupe de Carcassonne du 10 janvier 2013
Lecture de « Séminaires de Zurich » par Martin HEIDEGGER éditions Gallimard
Présents : Edith BLANQUET- Marie Christine MISTRAL- Marie SARDA – Denis TOUZET
Nous nous sommes attablés ce soir à la lecture du Séminaire du 14 mai 1965 P 138-142
Le dernier séminaire s’est penché sur la question du phénomène du corps : tentative de nous y tenir au plus près, de mettre de côté toutes nos présuppositions, non parce qu’elles seraient obsolètes, mais avec pour projet (...)
Groupe de Lecture de Carcassonne. Lecture de « Séminaire de Zurich » Martin Heidegger ; traduit par Caroline Gros. Mai 2013 : lecture séminaire du 6 juillet 1965,II,et 8 juillet 1965 ,III ; P156 à 170
Ce soir nous étudions la méthode pour aborder la question du phénomène du corps. Pour cela, selon Heidegger, nous devons étudier la méthode de la science pour, à partir de la compréhension que l’on en aura, dégager éventuellement une méthode propice concernant le phénomène du corps, ce qui peut ouvrir plein (...)
Séminaire de Zurich Groupe de lecture de Carcassonne Edith Blanquet Guy Minaudier Marie-Christine Mistral Marie Sarda Denis Touzet
Séminaire du 6 et 8 juillet 65 page 148 à 155 jeudi 11 avril 2013
Le chat ne dépasse jamais la queue qui lui court après. (entendu ce soir là)
Le séminaire d’aujourd’hui pourrait s’appeler "discours sur la méthode" mais il semble que ce titre soit déjà pris par ailleurs.
"Page 148 – La question à poser est : selon quels chemins la distinction psyché et soma peut-elle être (...)
Compte rendu du groupe de lecture de carcassonne. Lecture du « séminaire de Zurich ». Novembre 2012
Lecture des pages 124 à 138 ; séminaire du 11 mai 1965
Dans le dernier séminaire, il s’agissait de comprendre ce que veut dire se rendre présent : un rapport au monde simple, dans le sens où l’homme y est situé et où il n’est pas de présupposés comme par exemple de penser l’homme en tant que sujet et le monde en tant qu’objet, sans recourir à une notion dualiste du monde et de l’homme. Pour autant il y a (...)
Groupe de lecture de Carcassonne du 14 février 2013
Présents Edith Blanquet- Marie Christine Mistral- Marie Sarda – Guy Minaudier- Denis touzet
Ce soir lecture du séminaire IV du 14 mai 1965 Pages 143 à 147
Rappel du séminaire III :La limite du corps qui ne devient jamais elle même une limite du corps (leib) nous dit Heidegger P 140 Le phénomène du corps : le corps est à chaque fois mien (la mienneté existentiale) ; un mode d’être-le-là : le corporer témoigne de l’horizon dans lequel je (...)
GROUPE lecture de Carcassonne de Décembre 2012. Séminaire de Zurich/Zollikon. Heidegger. Edith BLANQUET- Yannick MARQUEZ- Marie SARDA- Marie Christine MISTRAL- Guy MINAUDIER-Denis TOUZET Ce soir lecture du séminaire du 11 mai 1965 pages 132 à 138 Heidegger débute ce séminaire en abordant le phénomène du corps. Et pour cela il cite NIETZSCHE Edith nous rappelle que Nietzsche a fait tout un travail sur ce qu’il appelle « la grande santé » qui a chez lui, à voir avec la puissance. Pour Nietzsche, la (...)
Groupe de Carcassonne 22 mai 2012
Lecture de « Séminaires de Zurich » par Martin HEIDEGGER éditions Gallimard, traduction Caroline Gros …
Lecture du séminaire du 10 mars 1965. P 100 à 113
Heidegger débute ce séminaire en nous invitant à considérer que le « phénomène » ne se donne pas à voir d’emblée (c’est le moment d’amener à être vu) mais que le phénomène est ce qui vient à se manifester. Il y a donc un travail d’explicitation à faire. Ce qui vient à se manifester , s’augure à même le next, l’ensuite par où (...)
Lecture de « Séminaires de Zurich » par Martin HEIDEGGER éditions Gallimard, traduction Caroline Gros …
Lecture des pages 113 à 123 .Séminaire du 12 mars 1965
Groupe de lecture de Carcassonne « Séminaire de Zurich » Martin HEIDEGGER éditions Gallimard, traduction Caroline Gros Edith Blanquet,Yannick Marques, Guy Minaudier, Marie-Christine Mistral, Marie Sarda, Denis Touzet. Compte rendu de lecture « Séminaires de Zurich », Carcassonne, janvier 2012/ lecture des pages 68 à 73.
« ……on ne peut pas simplement palabrer et employer pour les mêmes choses n’importe quel terme appelé synonyme »page 68. L’organisme n’est pas le corps, le self n’est pas la personne (...)
Groupe de Carcassonne avril 2012
Lecture de « Séminaires de Zurich » par Martin HEIDEGGER éditions Gallimard, traduction Caroline Gros …
Lecture des pages 100 à 113
Heidegger reprend sur la question du temps à partir de la théorie de la relativité d’Einstein. Il dit que la théorie de la relativité met en échec la conception du temps physique classique. Il commence à nous faire entendre que ce n’est pas la conception du temps qui est prise en vue mais juste la manière de calculer le temps… On ne pose (...)
Groupe de Carcassonne du 2 Mars 2012
Lecture de « Séminaires de Zurich » par Martin HEIDEGGER éditions Gallimard, traduction Caroline Gros …
Présents : Edith BLANQUET- Marie Christine MISRAL - Guy MINAUDIER – Denis TOUZET
Nous nous sommes attablés ce soir à la lecture du Séminaire du 21 janvier 1965 : pages 93-99
Cette séance de séminaire propose de nous appuyer sur un texte de F. Fisher « Structures spatio-temporelles et perturbation de la pensée dans la schizophrénie ».
Il relate la situation (...)
Groupe de lecture "Martin Heidegger - Séminaire de Zurich" Martin HEIDEGGER éditions Gallimard, traduction Caroline Gros
Edith Blanquet,Yannick Marques, Guy Minaudier, Marie-Christine Mistral, Marie Sarda, Denis Touzet.
Groupe de Carcassonne . Séance du 2 février 2012
Nous nous sommes attablés ce soir à la lecture du Séminaire du 18 janvier 1965 : pages 73-93 « Nous en sommes encore à la question du temps » C’est dans le dialogue avec la tradition que cette question peut s’élucider et éviter (...)
« Pour une phénoménologie des sentiments corporels » - Georges Charbonneau Groupe de lecture de Carcassonne.
Les passages en italiques sont des extraits du texte P17 à 19 de l’article
Le travail de la sémiologie clinique nous apprend à différencier, entre autre, les sentiments corporels, et nous renvoie à la question de la corporalité ou de la corporéité, en tant que conscience globale de soi. Il nous permet de qualifier le « être disposé à », « sentir- se mouvoir » et le contacter.
…La phénoménologie (...)
texte de Garelli "topologie de la douleur"
Présentation par Bernard Granger
Groupe de lecture Carcassonne ; partie quatre et finale « l’existant » Henri Maldiney CR 13
(P 309) Pourquoi le comprendre perce-t-il jusqu’aux possibilités – ce que ne fait pas, par exemple, l’intuition ? – Parce qu’il a la structure du projet ? Du point de vue du self, l’intuition serait quelque chose qui n’est pas pris en conscience, une figure qui apparaît claire et lumineuse d’emblée ; une projection de signification posée comme évidente – nous pouvons alors le comprendre comme une confluence (...)
CR11 Rappel : - Fusorgue : se soucier en vue de l’autre (la sollicitude) se tenir dans le souci l’un à l’occasion de l’autre. - Besorgue : se soucier de calmer sa propre inquiétude face à l’autre ; du coup, cela revient à faire pour lui et par là, à le déposséder de son avoir à être lui même.
La théorie du self nous permet de regarder l’entrée en présence. L’entrée en présence a à voir avec la temporalité : c’est venir là dans le présent. L’article de Maldiney ne parle que de cela. Entrer en (...)
Article d’Henri Maldiney Paru dans « penser L’HOMME ET LA FOLIE » Edition Jérôme Millon
Groupe de lecture IGPL de Carcassonne – 2003 / 2006
Responsable du groupe : Edith BLANQUET
Membres du groupe : Valérie CHANTEPIE Sylvie JUIGNET Yannick MARQUES Guy MINAUDIER Marie-Christine MISTRAL Marie SARDA Denis TOUZET
Problématique : La posture thérapeutique
Projet : Articuler la théorie du self propre à la Gestalt-thérapie et dans un paradigme de champ avec la conception phénoménologique d’Henri MALDINEY
A (...)
Voici la suite de nos échanges….
CR10 De P305 à 307 …
Dans la théorie du self, l’important n’est pas la signification que je donne (ex : je suis triste), mais c’est l’acte par lequel je me pose = la venue en présence. C’est au cours de l’élaboration de signification (déploiement du self en ses divers modes) qu’un je, peu à peu, advient en tant que lui-même ainsi situé et signifié. Venir en présence, c’est alors tisser la Gestaltung. C’est une construction de figure que le thérapeute va interroger (comment (...)
Groupe de lecture Maldiney . Carcassonne
La dimension du contact au regard du vivant et de l’existant (De l’esthétique sensible à l’esthétique artistique)
Compte-rendu n° 9 (mai 2009 suite) Séances des 24 mai et 19 juin 2009. Suite et fin. Page 205 à 212
P 205 « l’intentionnalité du percevoir est en opposition radicale à l’in-intentionnalité du sentir. Le rapport moi-monde, lié par le « et », lié par le « dans » ou lié par le « avec » n’a pas la structure de l’intentionnalité ».Maldiney (...)
Groupe de lecture Maldiney . Carcassonne
La dimension du contact au regard du vivant et de l’existant (De l’esthétique sensible à l’esthétique artistique)
Compte-rendu n° 8 (mai 2009)
De la page 203 : "Cette différence n’est pas toujours….. à la page 205 : ….., à l’objet catoblépas"
page 203 "Cette différence n’est pas toujours marquée ni reconnue, (……) sa vérité dans le percevoir" Maldineynous dit que la différence entre le vivant et l’existant n’est pas toujours reconnue, notamment par les (...)
La dimension du contact au regard du vivant et de l’existant. (de l’esthétique-sensible à l’esthétique-artistique)
Compte-rendu N°7
De la page 200 "les formes par lesquelles l’existence humaine….. à la page 203 …au regard du vivant et de l’existant"
Tout au long des paragraphes qui constituent le texte compris entre les pages 200 et 203, Maldiney s’emploie à préciser la notion de "entre" comme possibilité de l’apparaître. Il procède à un détour linguistique et culturel via le Japon et l’Allemagne pour (...)
La dimension du contact au regard du vivant et de l’existant. (de l’esthétique-sensible à l’esthétique-artistique)
Compte-rendu N°6
Groupe de lecture Maldiney ; Carcassonne.
Pages 198 à 199 : « Mais qu’est-ce qu’être…… / ……que nous sommes un dialogue. »
Dans les pages précédentes (voir cr5) Maldiney ouvrait la nuance entre vivant et existant. Dans les deux pages qui nous occupent aujourd’hui, Maldiney s’interroge sur la spécificité de l’homme, la transcendance : l’homme, un étant qui a à être (un (...)
La dimension du contact au regard du vivant et de l’existant.(de l’esthétique-sensible à l’esthétique-artistique)
Compte-rendu N°5Groupe de lecture Maldiney ; Carcassonne.
Pages 196 à 198 : « Pour exprimer de plus près le procès……/…….quelqu’un, qui de même, est. »
Maldiney ouvre la nuance entre vivant et existant.
(Page 196) « Pour exprimer…quelque chose lui est ouvert » Dans le procès (processus, quelque chose qui se déroule) de la vie, Heidegger, pour définir le comportement de l’animal, emploie le terme (...)
pages 192 à196
Groupe de lecture Maldiney
La dimension du contact au regard du vivant et de l’existant. (de l’esthétique-sensible à l’esthétique-artistique)
Compte-rendu N°3
Page 190 Cependant l’intouchable ne ferme pas le contact. Au contraire il le maintient ouvert et maintient, par là-même, la possibilité du soi. A condition de toutefois ne pas s’en laisser accroire par l’apparente réflexivité de cette épreuve. « SE toucher, SE voir, dit Merleau-Ponty, ce n’est pas se saisir comme ob-jet ; c’est être ouvert à soi, (...)
Groupe Maldiney
La dimension du contact au regard du vivant et de l’existant. (de l’esthétique-sensible à l’esthétique-artistique)
Compte-rendu N°2
page 189 "Or on peut en dire presque autant…." à page 190 "Ce en quoi il echoue."
Avant propos (préambule en guise d’ouverture de notre séance de travail)
En tant que Gestalt-thérapeute, nous sommes conviés de renoncer à la psychologie comprise comme une technique pour nous pencher sur celle de l’ontologie. Nous devons nous intéresser à la question de (...)
lecture des p 187 et 188
Monde de la pulsion et personnalisation. Médard Boss texte traduit du livre "Von des Spamweite der Zeele" p 152 à 172. Groupe de traduction EGTP : Edith Blanquet, Barbara Minkus, Magali Bareil et Françoise Plattret.
Introduction
Les deux concepts du titre : "monde de la pulsion et personnalisation" forment probablement le plus grand écart qui nous est donné, par les psychologies et les anthropologies actuelles, pour comprendre l’essence de l’homme dans sa totalité. Malgré cela, nous pourrions nous (...)
Médard Boss - Psychanalyse et Analytique du Dasein Editeur : Vrin, Paris,2007.
Résumé de lecture par Jacques Dupont
Préambule au résumé :
Médard Boss (1903-1990) – docteur en psychiatrie, fut l’élève de Bleuler, de Freud – avec lequel il entame une analyse didactique en 1925 - et collabora avec Jung. Il découvre « Etre et Temps » alors qu’il est médecin militaire de l’armée suisse, vers 1940. Il est y frappé par les propos sur la « sollicitude devançante » et prend conscience de la portée médicale de (...)
« La signification pour Martin Heidegger en ce qui concerne le travail avec les hommes souffrants et en vue de la compréhension en elle-même de la psychothérapie. »
Traduit Par Barbara Minkus et Edith Blanquet Article extrait du livre : “Von der Spannweite der Seele” ; “De l’amplitude de l’âme”, auteur : Médard Boss. Editeur : Benteli Verlag bern 1982, 227 Pages. Titre allemand : „Die Bedeutung Martin Heideggers für die Arbeit mit leidenden Menschen und für das Selbstverständnis der Psychotherapie“ pages (...)
“Von der spannweite der Seele” ; “De l’amplitude de l’âme” Medard Boss Edideur : Benteli Verlag bern 1982, 227 Pages.
Article " Das Unbewusste, was ist das ? “ Pages 132 à 150 Traduit par : Groupe de traduction EGTP : Barbara Minkus, Inès Meyer-Eltz, Patrick Colin, Edith Blanquet.
“ L’inconscient ; qu’est ce que c’est ?”
"L’Inconscient" est un concept central de la psychanalyse freudienne. Il l’est tellement que Freud a dénié à quiconque le droit de se nommer psychanalyste s’il ne croit pas à l’existence (...)
Médard Boss et la Daseinsanalyse Présentation par edith Blanquet
En 1885 nous assistons à l’avènement de la psychanalyse. En 1927, paraît « Être et temps ». Nous avons là deux conceptions de l’homme : La psychanalyse, tout en donnant à la parole du patient une place nouvelle, nous propose une conception topique de l’être humain. Elle formule l’hypothèse de la construction d’un appareil psychique et nous propose des stades du développement de celui-ci. Elle va considérer la pathologie comme une (...)
Compte rendu n°7 - D’un entretien de la parole de Martin Heidegger- Corinne Simon, Frédérique Remaud, Marie Christine Chartier, Edith Blanquet - La Vacheresse - Janvier 2019 p 102 à 104
Où en étions nous ? p 102 La pensée européenne pose la différence entre sensible et intelligible. Notre pensée européenne veut raisonner, rendre compte, justifier de tout. Le japonais cherche comment il pourrait utiliser la langue européenne pour donner à entendre, à éprouver quelque chose. La question de passer par la (...)
Compte rendu de lecture acheminement vers la parole n°12 à Pierre-Routine Corinne Simon, Frédérique Remaud, Marie-Christine Chartier, Edith Blanquet.
Recueil : Ça m’accorde à une manière de me comporter à laquelle je suis toujours déjà accordée. Ici on a mis des chaises… ce ne sont pas des objets inertes que l’on bouge… mais des choses pour se voir, pour s’accueillir… C’est déjà une manière de dire toute une histoire. Alors que dans la vie courante on a l’impression de faire des histoires, et d’être maître de (...)
Compte rendu de lecture acheminement vers la parole n°11 Corinne Simon, Frédérique Remaud, Marie Christine Chartier, Edith Blanquet.
« La douleur a déjà ajointé le seuil dans son support. La dif-férence se déploie déjà en tant que le recueil du déploiement d’où advient à soi le port où monde et chose sont portés. Mais comment ?
Là resplendit en clarté pure Sur la table pain et vin.
Où la pure clarté resplendit-elle ? Sur le seuil, dans la portée de la douleur. Le déchirement de la Dif-férence, (...)
Compte rendu de lecture acheminement vers la parole n°10 à la Vacheresse Corinne Simon, Frédérique Remaud, Marie Christine Chartier, Edith Blanquet.
p 29 « La première strophe du poème enjoint aux choses de venir, elles qui, en tant qu’elles se déploient comme choses, portent jusqu’à sa figure un monde. La seconde enjoint au monde de venir, lui qui, en tant qu’il se déploie comme monde, est faveur de choses. La troisième strophe enjoint au milieu, pour monde et chose, de venir : il porte jusqu’au bout (...)
Groupe de lecture, compte rendu de lecture n°8 3 décembre 2016 à Brugairolles Edith Blanquet, Corinne Simon, Anne Guignabert, Marie-Christine Chartier, Frédérique Remaud
« La seconde strophe, c’est d’une toute autre façon qu’elle parle. A la vérité, elle aussi invite à venir. Mais son appel commence en appelant et nommant les mortels :
Plus d’un qui est en voyage…
Ce ne sont pas tous les mortels qui sont appelés, ni ceux qui sont beaucoup ; seulement « plus d’un » (...)
Groupe de lecture, compte-rendu de lecture n° 9 - janvier 2017 à Alet Edith Blanquet, Marie-Christine Chartier, Frédérique Remaud, Corinne Simon « La seconde strophe débute en appelant « plus d’un » parmi les mortels. Bien que les mortels appartiennent avec les divins, avec la terre et le ciel au cadre du monde, les deux premiers vers de la seconde strophe ne s’adressent pas encore en propre au monde. Presque comme la première strophe, mais dans une suite autre, ils nomment bien plutôt du même coup (...)
Groupe de lecture, compte rendu -7- 2 oct 2016 à Brugairolles Edith Blanquet, Corinne Simon, Anne Guignabert, Marie-Christine Chartier, Frédérique Remaud
« Pour beaucoup la table est mise
Et la maison est bien pourvue.
"Ces deux vers parlent comme le feraient des énoncés, comme s’ils constataient un quelconque état de choses. Tel semble le ton du « est » catégorique. Et pourtant il parle en appelant. Les vers portent la table mise et la maison bien pourvue dans cette présence qui est maintenue (...)
Groupe de lecture, compte rendu -6- 12 Mars 2016 à Brugairolles Edith Blanquet, Corinne Simon, Anne Guignabert, Marie-Christine Chartier, Darwin Fauché, Frédérique Remaud
« Acheminement vers la parole » Martin Heidegger pages 21-22-23
Résumons : Il s’agit de chercher le parlé de la parole. La parole n’est pas une propriété de l’homme pas plus qu’elle serait une technique d’expression. Elle n’est pas de l’ordre d’une activité, d’une praxis. Ce n’est pas l’homme qui parle, c’est la parole qui nous (...)
Groupe de lecture, compte rendu 5 - 9 Janvier 2016 - à Brugairolles Corinne Simon, Edith Blanquet, Anne Guignabert, Frédérique Remaud, Marie-Christine Chartier et Darwin Fauché
ACHEMINEMENT VERS LA PAROLE - Martin Heidegger
« La parole est parlante. Qu’en est-il de son parler ? Où trouver un tel parler ? Ne sera-ce pas là où a été parlé ? Là en effet parler s’est accompli. Où a été parlé, parler ne cesse pas. Où a été parlé, parler reste à l’abri. Où a été parlé, la parole rassemble la manière dont elle (...)
Groupe de lecture, compte rendu 4 - 27 Septembre 2015 - 17h30 à Brugairolles
Corinne Simon, Edith Blanquet, Anne Guignabert, Frédérique Remaud, Marie-Christine Chartier et Darwin Fauché
ACHEMINEMENT VERS LA PAROLE - Martin Heidegger
Toute la question est : est-ce que la parole doit être du fait, du factuel ou bien est ce que la parole nous donne à entendre et nous invite à une dimension plus herméneutique ? La phrase qui nous semble importante : sur l’avant dernier paragraphe. Quand il dit : « Au (...)
Lecture « Acheminement vers la parole » Martin Heidegger Groupe de lecture de Brugairolles - Compte-rendu 3 - Participants:Edith Blanquet, Marie-Christine Chartier, Darwin Fauché, Anne Guignabert, Frédérique Remaud, Corinne Simon
« La parole est : parole. La parole est parlante. Si nous nous laissons aller dans l’abîme que nomme cette phrase, nous ne nous perdons pas dans le vide d’une chute. C’est
vers le haut que nous sommes jetés, dont l’altitude seule peut ouvrir une profondeur. Cette hauteur, (...)
Lecture « Acheminement vers la parole » Groupe de lecture de Brugairolles - Compte-rendu 2 - 28 mars 2015 Edith Blanquet, Marie-Christine Chartier, Darwin Fauché, Anne Guignabert, Frédérique Remaud, Corinne Simon
Résumé de la première lecture : De prime abord : on parle. Parler ce n’est pas juste prononcer des sons, cela a à voir avec faire, avec regarder. Cela a à voir avec, de suite, la manière d’être-au-monde. Du coup, on attribue la parole à ce qui se monde. On dit : « C’est une chaise ». On (...)
Lecture de « La parole » publié dans « Acheminement vers la parole » Martin Heidegger, Gallimard collection Tel N°55, Paris, 1976. Cette édition nous sert de référence pour la pagination indiquée dans nos comptes rendus.
Groupe de lecture de Brugairolles - Compte-rendu 1 - janvier 2015 Lecture des pages 13 et 14.
Participant(e)s : Edith Blanquet, Marie-Christine Chartier, Darwin Fauché, Anne Guignabert, Frédérique Remaud, Corinne Simon.
Ce groupe de lecture se donne pour projet de commenter et (...)
Groupe de lecture : Acheminement vers la parole pages 136-137-138 Blanquet Edith, Chartier Marie- Christine, Simon Corinne, Remaud Frédérique Février 2022 Saint Salvy
J. - Pour cela, il est besoin d’une migration jusqu’au site du déploiement de la Dite. D. - Cela avant tout. Mais j’ai d’abord autre chose dans l’esprit. Ce qui me décide à la retenue, c’est la croissante lumière du regard portant sur l’intouchable qui nous voile le secret de la Dite. La simple clarification de la différence entre dire et (...)
Compte rendu de lecture - Acheminement vers la parole n°20 - oct 2021 – Pierre-Routine - p131-134 Corinne Simon, Frédérique Remaud, Marie-Christine Chartier, Edith Blanquet.
« D. – Koto serait alors l’appropriement (das Ereignis) de l’éclaircissante annonce de la grâce. J. - Magnifiquement dit : seul, le mot « grâce » peut trop facilement égarer la représentation d’aujourd’hui... D. - ... en effet, la mener au loin, dans le domaine des impressions... » Ereignis se traduit par l’avenance. Le séminaire Vom (...)
Compte rendu de lecture - Acheminement vers la parole n°19 - juin 2021 - Rouffach Corinne Simon, Frédérique Remaud, Marie-Christine Chartier, Edith Blanquet. Page 130-131
Le japonais dit que s’il se permet d’essayer de donner à entendre ce que veut dire Koto ba, cela peut paraître pour nous une image qui serait une métaphore et qui ne dirait pas la vérité de ce qui est. Cela pose la question de que veut dire traduire littéralement... ça appelle à, qu’appelle-t-on traduire ? Est-ce qu’un traducteur (...)
CR 16 par Skype Samedi 28 Novembre 2020, Edith Blanquet, Corinne Simon, Frédérique Remeau, Marie Christine Chartier ; p126 à 128 - D’un entretien de la parole - Martin Heidegger.
Heidegger dit que : L’herméneutique est d’abord porter annonce et apporter à la connaissance ; une manière de laisser venir et voir, de répondre à un appel bien plus qu’interpréter à partir d’une conscience intérieure logique, ce qui a à voir avec l’éveil. C’est l’habitation de la parole, cette « prise » en place langagière, qui (...)
Compte-rendu 17 - Corinne Simon, Frédérique Remaud, Marie-Christine Chartier, Edith Blanquet - janvier 2021 - La Vacheresse - p 128
En préambule : La relation herméneutique : « au commencement les lettres étaient en close, dieu les regardait et jouait avec » ... c’est fabuleux la place des lettres dans l’alphabet hébraïque et tout ce que ça questionne de la manière dont on entend l’alphabet qui n’est pas un outil : la question du monde est une impression au sens imprimer qui a à voir avec la forme des (...)
Compte rendu de lecture acheminement vers la parole n°18 - avril 2021 - St Salvy Corinne Simon, Frédérique Remaud, Marie-Christine Chartier, Edith Blanquet.
« D. - La qualité artistique est devenue un facteur déterminant pour l’expérience moderne de l’art. J. - Pourquoi ne pas dire tout de suite : pour Ie marché de l’art. D. - La détermination de l’artistique s’effectue cependant en référence à la créativité et à la maîtrise. J. - L’art repose-t-il sur ce qui est artistique, ou bien le rapport est-il (...)
Compte-rendu 15 - Corinne Simon, Frédérique Remaud, Marie-Christine Chartier, Edith Blanquet - septembre 2020 - St Salvy - pp. 123-125
J. - Vous employez donc, dans votre titre, le mot « phénomène » au sens grec ? D. - Oui et non. Oui, dans la mesure où pour moi le nom de « phénomène » ne nomme pas les objets en tant qu’objets, et encore moins ces derniers comme objets de la conscience, ce qui veut toujours dire de la conscience-de-soi. Donc la différence entre phénomène et objet : objet est quelque (...)
Compte rendu n°13 - Corinne Simon, Frédérique Remaud, Marie Christine Chartier, Edith Blanquet SKYPE Mars 2020 P. 119 à p 121
D.- Je suis surpris que vous voyiez si clairement. J.- Quand je puis vous suivre dans l’entretien, cela réussit. Laissé seul, je suis sans voix ; déjà la manière dont vous utilisez les mots « relation » et « il faut « … D.- …ou, mieux, dont il faut les employer… J.- …est assez dépaysante. D.- Je ne le nie pas. Mais il me semble que dans le champ que nous parcourons, nous ne (...)
Compte rendu n°14 Corinne Simon, Frédérique Remaud, Marie Christine Chartier, Edith Blanquet - Juin 2020 P. 122-123
En guise d’introduction Dans son séminaires( "Gestion génocidaire du globe" accessible sur youtube), Zadganski reprend la question notamment de la subversion qu’ouvre Dasein et de sortir de la question de l’ego... comment l’élément majeur de la pensée d’Heidegger est justement de re-situer la subjectivité moderne à partir de Descartes et de s’éloigner de cette posture qui fait partie (...)
Compte rendu n°12 - Corinne Simon, Frédérique Remaud, Marie Christine Chartier, Edith Blanquet – La Vacheresse - février 2020. P. 117-123
On reprend sur la dernière phrase : « J. - Vous disiez que la parole est le trait fondamental dans la relation herméneutique de l’être humain à la duplication de présence et étant-présent. A l’occasion de cette indication, je voulais dire quelque chose ; mais cela n’aura lieu qu’une fois que vous aurez montré ce que nous avons laissé là impensé.
D. - Le mot « relation » (...)
Compte rendu n°11 Corinne Simon, Frédérique Remaud, Marie Christine Chartier, Edith Blanquet - Alet - Novembre 2019. P. 113-117
J. - Parlant ainsi, vous venez mieux au secours de mon effort à dire le mot que vous ne pouvez le savoir. D. - Je ne vous cacherai pas que vous me laissez d’autant plus haletant que jusqu’ici j’ai en vain cherché une réponse à ma question auprès des experts et des linguistes. Mais afin que votre méditation parvienne bien à son ultime battement et sans que presque vous y (...)
Compte rendu n°10 Corinne Simon, Frédérique Remaud, Marie Christine Chartier, Edith Blanquet Pierreroutine Septembre 2019 .
Reprise du cadre.
Pourquoi cherchons nous autour de la parole ? Pourquoi Heidegger écrit-il sur l’acheminement de la parole ? Pourquoi dit-on que la parole c’est faire signe plutôt que donner des significations ? En vue de quoi ? Dans quel contexte ? A partir de quelle manière d’être qui concerne humain ? Si on en est là dans un travail de philosophie c’est qu’on se questionne (...)
Compte rendu n°9 - D’un entretien de la parole - de Martin Heidegger - Corinne Simon, Frédérique Remaud, Marie-Christine Chartier, Edith Blanquet - Rouffach - Mai 2019 – p. 107 à 113
« J. - Ainsi nous sommes en fait restés sur le chemin de l’entretien D. - Et sans doute uniquement parce que, sans bien le savoir, nous prêtons oreille à cela qui, seul, laisse réussir un entretien, et que vous avez nommé... J. - cet indéterminé qui détermine, qui donne le ton alors qu’il ne l’a pas reçu d’ailleurs (...)
Compte rendu n°8 - D’un entretien de la parole de Martin Heidegger-
Corinne Simon, Frédérique Remaud, Marie Christine Chartier, Edith Blanquet - Laffite - Mars 2019 p 104 à 107
Où en étions-nous ? La différence entre la manière européenne et japonaise de penser le vide. Le vide estdu même ordre que le rien, ils sont l’un et l’autre pur déploiement, ce qui n’est pas néant. Nous européens, voyons d’emblée le vide comme une absence d’objet alors que pour les japonais il est dimension de l’ouvert... ouverture... (...)
Compte rendu n°7 - D’un entretien de la parole de Martin Heidegger- Corinne Simon, Frédérique Remaud, Marie Christine Chartier, Edith Blanquet - La Vacheresse - Janvier 2019 p 102 à 104
Où en étions nous ? p 102 La pensée européenne pose la différence entre sensible et intelligible. Notre pensée européenne veut raisonner, rendre compte, justifier de tout. Le japonais cherche comment il pourrait utiliser la langue européenne pour donner à entendre, à éprouver quelque chose. La question de passer par la (...)
Compte-rendu n°6 - D’un entretien de la parole de Martin Heidegger – Corinne Simon, Frédérique Remaud, Marie-Christine Chartier, Edith Blanquet – Rouffach - Nov 2018 - p 98 à p 102.
J.- C’est ainsi, de fait, que nous voulions seulement savoir en quelle mesure l’esthétique européenne était susceptible d’élever à une plus grande clarté cela à partir de quoi notre art et notre poésie reçoivent leur déploiement.
Cela vient dire qu’il s’agit de se laisser questionner et pas de répondre, et que toute esquisse de (...)
Compte rendu n°5 D’un entretien de la parole de Martin Heidegger Corinne Simon, Frédérique Remaud, Marie Christine Chartier, Edith Blanquet. Pierroutine septembre 2018 p97 et 98
"Le cheminement qui recule, seul, nous mène de l’avant » p97. L’éloge du point de tige en broderie. Cela ramène à la provenance ...le train est en chemin mais à l’avant de là où il était. Ce qui le détermine, c’est qu’il est à l’avant d’un point où il est toujours déjà été : ce n’est pas un lieu arrêté. C’est ce mouvement du (...)
Compte rendu n°4 D’un entretien de la parole de Martin Heidegger Corinne Simon, Frédérique Remaud, Marie-Christine Chartier, Edith Blanquet. Alet les bains Juin 2018 p 92 à 97.
Où en étions nous ? "Historique" de la pensée de Heidegger. Comment la question de penser ouvre à une manière de dire... ainsi, la pensée de Heidegger donnait à entendre quelque chose de difficile à mettre en mots et qui trouvait pourtant naturellement des oreilles compréhensibles chez les japonais. On en était au moment, où il (...)
Compte rendu n°3 - "D’un entretien de la parole" - Martin Heidegger. Corinne Simon, Frédérique Remaud, Marie-Christine Chartier, Edith Blanquet. Mars 2018 - La Vacheresse
« Alors que ce que cherchait à dire l’entretien… de Constance » p 90-92
Thème : La manière dont le comte Kuki relate sa période d’études auprès de Heidegger et celle d’autres japonais dont le professeur Tanabé qui étudia auprès de Husserl la phénoménologie ; l’évolution de la pensée de Heidegger, son chemin à partir notamment d’un texte (...)
Compte-rendu n°2 « D’un entretien de la parole » Heidegger. Corinne Simon, Frédérique Remaud, Marie Christine Chartier, Edith Blanquet. Janv 2018
« J. – Face à l’industrialisation technique de toutes les parties du monde, il semble bien qu’il n’y ait plus ici aucun moyen d’esquive. D. – Vos paroles sont prudentes ; vous dites : il semble… J. – Sans doute. Car toujours demeure une possibilité, celle que – vu depuis notre manière d’être asiatique – le monde technique qui nous pris dans son arrachement (...)
Compte rendu n°1 "D’un entretien de la parole" Martin Heidegger. Publié dans "Acheminement vers la parole" Tel, Gallimard N°55, Paris 1976. Corinne Simon, Frédérique Remaud, Marie Christine Chartier, Edith Blanquet. 19 nov 2017-Toulouse
J : Japonais D : Demandeur : Heidegger
« J- Vous connaissez le comte Shuzo Kuki. Il a étudié plusieurs années auprès de vous. D- Je garde fidèlement la mémoire du comte Kuki. J- Il est mort trop tôt. Son (...)